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:: L'effet de l'ionisation

Extrait de « L'aréo-ionisation » par le Dr Yves DONADIEUFac. De Médecine De Paris.

 
 

INDICATIONS DE L'AERO-IONISATION NEGATIVE

            Il faut bien savoir, avant toute chose, que si chacune des indications citées dans ce chapitre est bien réelle, cela ne signifie nullement, bien entendu, que l'aéro-ionisation est toujours capable de résoudre totalement à elle seule le trouble pathologique ou la maladie considérée et de rétablir complètement de définitivement l'état de bonne santé.

             L'aéro-ionisation n'est, ni le moyen thérapeutique miraculeux, ni une panacée, mais seulement une excellente possibilité supplémentaire à même de nous aider dans de fort nombreux cas, toujours un peu, souvent beaucoup, et comme l'exagération nuit toujours à la bonne cause de toute thérapeutique, nous avons retenu ici que les indications reconnues qui reposent sur des travaux cliniques et scientifiques incontestables.

             A cet effet, et pour que les choses ne prêtent à aucune confusion, nous avons mentionné :

En caractères « gras », les indications majeures où l'aéro-ionisation négative utilisée seule ou presque, donne en règle d'excellents résultats.

En caractère « italiques », les indications habituellement reconnues où l'aéro-ionisation négative peut être des plus utile et donne généralement de très bons résultats en association avec d'autres thérapeutiques indispensables dont elle renforce d'ailleurs souvent les effets.

             Ce préalable étant bien établi, nous étudierons successivement les indications de l'aéro-ionisation négative chez l'homme malade atteint d'un trouble déterminé d'une affection ayant fait l'objet d'un r' diagnostic médical très précis. Il va de soi en effet (mais mieux encore en le disant...) qu'il est indispensable d'avoir établi, ou fait établir, le bon diagnostic avant d'utiliser cette méthode thérapeutique, afin de ne pas soigner une maladie qui n'existe pas, mais surtout de ne pas laisser se développer une autre maladie, plus ou moins grave, qui ne rentre pas dans le champ de l'action de l'aéro-ionisation négative et qui implique des soins spécifiques plus ou moins urgents. 

A) CHEZ L'HOMME BIEN PORTANT

             L'aéro-ionisation est essentiellement utilisée :

 - pour augmenter la résistance à la fatigue physique, intellectuelle, psychique et sexuelle, ainsi que le stress en général ;

- pour renforcer le terrain biologique dans sa lutte contre les agressions, quelles qu'elles soient, par augmentation des défenses immunitaires naturelles ;

- pour freiner les processus de vieillissement cellulaire et tissulaire de l'ensemble de l'organisme, par compensation de la sous-oxygénation qui s'accentue avec l'âge du fait d'une capacité pulmonaire moins importante et d'une perméabilité » cellulaire diminuée

permettant ainsi :

 - d'avoir une plus grande forme physique et un meilleur tonus cérébral dans le cadre des activités » normales et a fortiori  à l'occasion de périodes d'activités plus intenses (épreuves sportives et préparations aux examens en particulier) ;

 - de prévenir un certain nombre de maladies infectieuses (notamment la grippe saisonnière) et diverses perturbations métaboliques génératrices de maladies à moyen ou long terme ;          

- de rester plus jeune plus longtemps avec la meilleure efficience possible, c'est-à-dire pour reprendre la très belle phrase d'Alexis Carrel : « Il ne s'agit pas d'ajouter des années à la vie, mais de la vie aux années ». Les deux n'étant d'ailleurs pas incompatibles...

             L'aéro-ionisation négative chez l'homme bien portant est donc un excellent moyen préventif pour se bien ou se mieux porter, dont il faut user largement, aussi bien à domicile que sur son lieu de travail (1).

 B) CHEZ L'HOMME MALADE -

             Suivant la cause et la gravité du trouble ou de l'affection en cause, l'aéro-ionisation négative peut être utilisée seule ou associée à d'autres thérapeutiques nécessaires, dans les cas suivants :

 1° - INDICATIONS GENERALES :

 - Asthénies ou états de fatigues, à tous les degrés, portant aussi bien sur la sphère physique, psychiques, intellectuelle ou sexuelle, et tout particulièrement :

- asthénie en cours de maladie ;

- convalescences médicales en général et post-opératoires en particulier ;

- surmenage de toute nature ainsi que les épuisements physiques ou intellectuels ;

- asthénie des personnes âgées.

- Anorexies ou pertes de l'appétit, d'origine physiologique ou psychique (anorexie mentale par exemple).

- Terrains déficients constitutionnels.

- Sénescence ou vieillissement prématuré.

- Comme adjuvant de la plupart des thérapeutiques utilisées dans les grands désordres pathologiques.

 2° - INDICATIONS PARTICULIERES

 

Convalescences d'infarctus.

Hypertension ou hypotension artérielle, du fait de l'effet de régularisation des chiffres tensionnels avec disparition des troubles qui en découlent.

-Rhume.

-Certaines rhinites, et tout particulièrement l'ozène dont le principal symptôme est l'exhalaison, par les narines, d'une odeur puante et très fétide ressemblant à celle d'une punaise écrasée (l'effet désodorisant des ions négatifs s'ajoutant d'ailleurs à leur action thérapeutique).

-Certaines sinusites.

-Grippe et syndromes grippaux.

Bronchite aiguë et chronique, emphysème pulmonaire, asthme, et toutes les insuffisances respiratoires en général, par accroissement de la capacité respiratoire et de la ventilation pulmonaire.

 (1) De nombreuses expériences réalisées dans des entreprises montrent que l'aéro-ionisation négative des locaux entraîne une amélioration de la forme physique et intellectuelle de tous les employés ainsi qu'une diminution de l'absentéisme et des accidents de travail, avec, par voie de conséquence, un meilleur rendement global.

- Anorexie ou perte de l'appétit

- Digestions difficiles.

- Certaines colites, tout particulièrement quand l 'élément neuro-végétatif est prépondérant.

  Perturbations endocriniennes en général; qu'il s'agisse d'hypo ou d'hyperfonctionnement, particulièrement

- Troubles menstruels.

- Troubles de la ménopause.

- Certaines formes de surcharge pondérale liées à des désordres neuro-endocriniens.

 - Trac, hyperémotivité et nervosisme.

- États anxieux et tendances dépressives.

- Insomnies.

- Troubles de la mémoire ou de la concentration intellectuelle.

- Maladies psycho-somatiques en général.

- Migraines.

- Douleurs diverses, qui bénéficient souvent de l'effet analgésique rapide des ions négatifs.

- Brûlures.

- Cicatrisations difficiles : plaies atones, ulcères variqueux, escarres, etc... .

- Dermatoses d'origine interne (autotoxique ou nerveuse), dont certaines formes d'acmé ou d'eczéma.

Il n’est pas possible de rapporter tous ces travaux ici par manque de place, mais que le lecteur sache bien qu'ils existent et qu'ils les trouvera avec le détail des protocoles utilisés, dans l'ouvrage de référence : « Problèmes d'ionisation et d'aéro-ionisation » sous la direction de G.R. Rager (Maloine éditeur, 1975.)

             Nous pouvons tout de même signaler encore, du fait de leur intérêt dans la prévention, les travaux russes et américains qui ont montré que les ions aériens, positifs ou négatifs, ont un effet inhibiteur sur la croissance bactérienne ainsi qu'un effet bactéricide important, les ions négatifs ayant toutefois une activité plus grande de fait de propriétés bactéricides biologiques qui leur son propre.

             En résumé, tous ces travaux établissent d'une façon irrécusable que les ions aériens ont une action physiologique et qu'ils peuvent provoquer des modifications fonctionnelles, le plus souvent indiscutables : une prédominance d'ions négatifs a habituellement des effets favorables et une prédominance d'ions positifs des effets défavorables, ce postulat souffrant toutefois de quelques exceptions.

             Reconnaissons que bien des thérapies à l'heure actuelle sur le marché des médicaments ne disposent pas, et de très loin, d'autant de travaux expérimentaux, ce qui ne les empêchent pas d'êtres reconnues et prescrites largamanu malgré, très souvent, des effets secondaires non négligeables... Curieux paradoxe, en vérité, qui fait que des thérapeutiques naturelles et sans danger, comme l'aéro-ionisation, même quand elles apportent les preuves scientifiques de leur efficacité, ne donnent lieu dans les milieux médicaux « officiels » qu'à désintérêt, scepticisme, dédain ou carrément mépris ! Il serait intéressant qu'un psycho-sociologue étudie cette question à laquelle nous n'apportons, personnellement, aucune réponse logique ou sensée.

 4° - MECANISME D'ACTION DES IONS NEGATIFS

            Grâce à l'importance des travaux réalisés au cours des dernières décennies, le mécanisme d'action de l'aéro-ionisation chez l'homme commence à être élucidé. Il s'articule essentiellement pour l'instant autour de deux grands axes : l'action sur les réactions biologique d'oxydation et l'action sur le métabolisme de la sérotonine qui est une amine dérivée du tryptophane (acide animé essentiel) présente dans la plupart des tissus de l'organisme où elle intervient comme médiateur chimique.

            Action sur les réactions biologiques d'oxydation : nous n'entrerons pas ici dans le détail des multiples travaux qui démontrent la réalité indéniable de cette action, tout particulièrement en ce qui concerne l'aéro-ionisation négative. Notons simplement les résultats expérimentaux essentiels sur lesquels elle repose. L'aéro-ionisation négative :

- accélère certaines réactions du cycle de Krebs (cycle qui correspond à toute une série de réactions enzymatiques intracellulaires qui produisent, par dégradations des glucides, de l'acide adénosine triphosphorique : ATP, principale source d'énergie de l'organisme ;

- augmente la teneur du sang en oxyhémoglobine (combinaison réversible de d'hémoglobine des globules rouges du sang avec l'oxygène) qui se forme dans les poumons et qui est réduite en hémoglobine dans les tissus, l'oxygène étant utilisé dans divers processus métaboliques ;

- entraîne une meilleure utilisation périphérique de l'oxygène qui est la base de la bonne marche de tous les phénomènes vitaux ;

- facilité l'élimination du gaz carbonique.

 

CONTRE-INDICATIONS

ET INCIDENTS POSSIBLES

 

1° - De l'importante expérience déjà acquise en ce domaine, il ne ressort aucune contre-indication à proprement parler et à priori ce qui concerne l'utilisation de l'aéro-ionisation négative.

             Il reste néanmoins toujours hautement recommandable, quand il s'agit de traiter des troubles maladifs, de faire établir un diagnostic précis par son médecin traitant car, que naturelle, il est indispensable de savoir ce que l'on soigne et de ne pas traiter des symptômes qui ne seraient que l'expression d'une maladie grave sous-jacente impliquant des soins spécifiques dans les plus brefs délais pour obtenir la guérison.

             Donc, et il s'agit là d'une règle générale pour toutes les thérapeutiques, même les plus douces : avant de commencer tout traitement et afin de se soigner sans aucune arrière-pensée, il faut toujours faire établir un diagnostic médical parfaitement assuré que seul peut donner l'homme de l'art. Cette mesure ne s'applique évidemment pas pour le bien-portant qui utilise l'aéro-ionisation négative dans un cadre préventif.

 2° - Il n'y a aucune incompatibilité avec d'autres thérapeutiques, quelles qu'elles soient, dans l'état actuel de nos connaissances en la matière.

 3° - L'aéro-ionisation négative est d’une totale innocuité et dénuée de toute toxicité.

 4° -      Seules certaines personnes, hypersensibles aux ions négatifs, peuvent présenter parfois au bout de quelques jours, et généralement après une nette amélioration de leurs troubles, une reprise plus ou moins importante de ceux-ci.

            Cette réaction, tout à fait exceptionnelle, n'est pas grave et même, souvent, de bon augure pour le résultat final du traitement. Il ne s'agit là qu'une réaction d'adaptation ou un problème de dosage comme cela peut arriver avec n'importe quelle autre thérapeutique.

            Il suffit alors d'arrêter le traitement pendant deux ou trois jours et de le reprendre ensuite avec un débit d'ions plus faible ou des séances de moindre durée pour que tout rentre dans l'ordre.

            L'absence de contre-indication et d'incompatibilité, associée à l'absence de toxicité et à la très grande rareté des incidents liés uniquement à une hypersensibilité individuelle, font que l'aéro-ionisation négative, compte tenu de ses propriétés, de son champ d'activité et de son efficacité, est un moyen thérapeutique qui prend aisément sa place au tout premier plan des thérapeutiques naturelles majeures.

Pour l'ensemble de ces raisons, l'aéro-ionisation négative mérite une place tout à fait privilégiée dans l'arsenal thérapeutique préventif et curatif de tous ceux qui voient dans leur état de santé un état concret qui les concerne directement. Car s'il est difficile, voire impossible, de combattre à grande échelle tous les méfaits de la pollution atmosphérique moderne dans laquelle nous vivons, cela demeure possible à l'échelon individuel avec l'utilisation d'un simple aéro-ioniseur à même de restaurer l'équilibre ionique de l'air que nous respirons, que ce soit au bureau ou à la maison, et cela pour notre plus grand bien.

 

En bref, et comme le dit si justement le Comité Français d'Éducation pour la Santé :

-VOTRE SANTE DEPEND AUSSI DE VOUS-

            A chacun, malade ou bien-portant, d'en prendre bien conscience en profitant, entre autres choses, des nombreux et extraordinaires bienfaits des ions négatifs dans notre environnement quotidien.

            Véritables « catalyseurs » biologiques, les ions négatifs représentent une source naturelle de vitalité et de santé dont il serait vraiment dommage de se priver.


 

BIBLIOGRAPHIE

ESSENTIELLE

 

            La bibliographie relative à l'aéro-ionisation étant très abondante et ce petit livre n'étant pas destiné aux spécialistes, il nous a paru utile d'en faire une liste exhaustive. Nous ne mentionnons donc ici que les ouvrages présentant le plus d'intérêt pour les praticiens ou le public qui s'intéressent tout particulièrement à cette question.
. Signalons toutefois que ceux des Professeurs METADIER et RAGER comportent de très nombreuses références bibliographiques auxquelles le lecteur intéressé pourra éventuellement se reporter.

BRETON J. -   L'électricité, l'atmosphère et la vie. (Chez l'auteur : Dr Jacques Breton, Professeur de Physique à l'Université de Bordeaux 1, Faculté des Sciences, 33405 Talence Cedex).

                        Phénomènes physiques atmosphériques, Cours pour le Certificat International d'Ecophysique Humaine (Chez l'auteur : même adresse).

MARCEL J.L -            Bioélectronique médicale. (Maloine éditeur, Paris, 1978)

METADIER J. -          L'ionisation de l'air et son utilisation. (Maloine éditeur, Paris, 1978)

                        Les Oxions. (Édition Christian Godefroy, B.P 9, 27760 La Ferrière-sur-Risle, 1983).

OLIVERAU J.M -       Incidences psychophysiologiques de l'ionisation atmosphérique. (Thèse de Doctorat d'État des Sciences, Université de Paris VI, juin 1971).

RAGER G.R - (sous la direction de ) Problèmes d'ionisation et d'aéro-ionisation. (Maloine éditeur, Paris, 1975). Cet ouvrage fondamental comporte également, outre ceux de RAGER G.R, les importants travaux de : BOULATOV P.C, CURIE C., DELEANU M., DANG PHUOC LY., FRANCESCHETTI L., KATSENOVITCH R.A., KERRTESZ R., KRUEEGER A.P., KORNBLUEH I.H., MINCH A.A.., OLIVEREAU J.-M., OBROSSOV A.N., PORTNOV F.G., UCHA UDABE R. et WEHNER A.P.